vendredi 17 avril 2015

Labyrinthe


On ne m'arrête plus !
J'ais pris note des commentaires vis à vis de la présentation. Elle changera d'ici peu, dans pas longtemps.

J'aimerais parler aujourd'hui de "Labyrinthe" (que je nommerais Labi par la suite car ce mot n’explose les neurones !).
Labi Labila, c'est un blockbuster ricain. Mon pote me l'avait filé en me disant "y'a pas vu, t'p't'être c'est bien". Merci poteau. Avant de commencer le visionnage, j'avais décidé de l'imposer plusieurs règles :
- avoir un papier et un stylo pour noter la suite du film telle que je la pensait
- de n'utiliser qu'une demi heure pour regarder tout le film, car le blockbuster, c'est comme un mauvais parachutiste, ça a tendance à s'étaler.

Saint-Glinglin de la Morisette est un petit village, avec Nazi, Petit Gros, Bridé, et d'autres que l'on ne connaîtra même pas. Tout va pour le mieux (ou pas) pour eux. Il y a devant leurs cabanes Labi-la-vie-sans-lui qui a une grosse porte qui s'ouvre le matin et qui se ferme la nuit. Dedans, on peut y trouver des gros monstres sociopathes et des pièges pas folichons pour un sou. Les morisettois veulent évidemment s'enfuir, car ... je ne sais pas trop. Mais ils sont attaqués par des zombies propres, faut pas rigoler !
                                             Qui trouvera la fonction de ce personnage ?

Mais qu'est-ce qu'est un morisettois ? C'est un adolescent bidimensionnel (ou une fonction) sans souvenir qui "pop" quand un autre gus meurt dans le village. Ouip.
Le morisettois est également un peu bête et pas très efficace. A voir le nombre de nom sur le "Hall of Fames" local, aucun n'arrive à sortir du rubicube géant.
Donc ils galère. Jusqu'au jour où le héros débarque. Puis une nana. Bon. Il y a des engueulades, des prises de positions, des insultes à faire pleurer les mamans, enfin bref, ils se comportent tous comme des gosses et c'est chiant. Voilà.

Bon, au bout d'un moment, les jeunots choppent une bestiole, qui est en faîte un genre d'accessoire de George Lucas. C'est robotique dedans et latex dehors (non, ce n'est pas sale).
Je sors ma feuille : ils sont dans le futur, ils sont dans un centre d'expérimentation géant (et gênant), les bêtes sont des robots ...
Et j'avais raison.
Allons directement à la fin du film. En faît, ils sont dans le futur, ils sont dans un centre d'expérimentation géant (et gênant), les bêtes sont des robots et tout. Et alors qu'ils pourraient partir (ils sont là pour ça, hein ?) Nazi pète un câble et tir sur Héros (surprise ?) mais Petit Gros se sacrifie pour faire bouclier (surprise ??) et Héros peut alors exécuter Nazi qui n'avait pas de bouclier scénaristique (???).

Viens alors le pourquoi du comment. Et là, je pleure.
En fait, il y avait un virus zombie-propre sur la planète. Alors les scientifiques ont utilisé des pitits jeunes avec des gènes de résistance pour trouver un vaccin. Pourquoi pas.
Mais plutôt que de faire des tests sur des embryons, de chercher quel gène (et donc quelle molécule) était responsable de la résistance et donc finalement effectuer une recherche scientifique et cartésienne, ils ont craqué leur fondement en faisant des tests in-vivo (?) direct sur l'Homme (?) ... et ... en quoi savoir s'échapper d'un Labi permet de mettre en exergue un caractère génétique ?
Quand on veut faire un maïs résistant à l'eau, on le fait pousser sans eau, on lui demande pas d'avoir des pattes et de courir un 100 mètres olympique !

Bref, j'ais trouvé ce film stupide, les personnages-fonctions sans intérêts, j'ais sentie la
Mais ce film a été adulé par les critiques. Pourquoi ?

fin à vingt kilomètres.

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